Le Décodage Biologique ou comment notre cerveau n’en a rien à cirer de notre BAC + 5

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L’observation et l’écoute des patients par un nombre croissant de chercheurs, médecins, thérapeutes et passionnés, mettent en évidence le lien intrinsèque entre chaque maladie et une émotion appelée : ressenti biologique conflictuel.

Habituellement l’association de ces deux mots (décodage et biologique) induit l’incompréhension chez les gens qui n’en ont jamais entendu parler.

 

Pour résumer, je dirais que le Décodage Biologique permet d’expliquer, dans certains cas (et donc pas toujours), la cause profonde d’une maladie physique, d’un blocage psychique ou d’une difficulté existentielle grâce à la compréhension des réactions de notre physiologie face au stress et à la connaissance de nos réflexes de survie primitifs.

 

Et bien qu’aujourd’hui nous ne soyons pas menacés par l’attaque d’un mammouth, notre cerveau reptilien ne fait aucune différence entre la peur qui peut être engendrée par la rencontre avec cet animal ou les menaces de notre patron par exemple.

 

De la même façon, notre estomac (via notre cerveau) ne va pas faire la différence entre une entrecôte avec l’os de 500 g  à digérer et une information du type »Vous êtes viré » que vous devez digérer.

 

J’ai l’habitude voir dans mon cabinet certains clients avec telle ou telle  pathologie et je suis toujours étonnée à quel point la connaissance des lois biologiques collent à l’histoire de la personne.

 

Lorsqu’un organe est considéré comme « malade », il exprime cette fonction biologique en manque ou en excès (quantité) ou en qualité insatisfaisante.
Si vous êtes praticien en shiatsu, cela ne vous-rappelle t-il  la relation kyo, jitsu?

 

Le décodage biologique donc est l’art de décoder, d’écouter le patient de façon biologique, afin de retrouver l’instant d’entrée en maladie : le bio-choc ou psycho-choc comme disent les spécialistes en décodage biologique.

Prenons pour exemple la cystite chronique.

La cystite est une inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse de la vessie. Les symptômes sont un besoin urgent et fréquent d’uriner, avec émission d’une petite quantité d’urine, et des douleurs à la miction (brûlures).

Le sens de la cystite

Le sens du marquage de territoire est de pouvoir uriner suffisamment pour imprégner les limites de son territoire de son urine. Si une personne est en conflit de marquage de territoire, c’est que sa vessie ne contient pas assez d’urine.

En phase de conflit actif, la muqueuse vésicale se creuse, des ulcères se forment, pour accroître la contenance de la vessie et rendre le marquage plus efficace.

La cystite apparaît après la solution du conflit, lorsqu’il s’agit de reconstruire la muqueuse, avec les phénomènes habituels d’oedème et d’inflammation.

Une femelle ressent le conflit davantage de l’intérieur : elle a besoin de pouvoir reconnaître son territoire, d’y définir sa position, et elle entend régner dans le domaine délimité par son homme, y mettre sa patte, sa marque, sa griffe.
C’est l’histoire d’une femme d’ouvrier qui, contrairement à ses voisines, est privée par son mari du rôle de maîtresse de maison. C’est lui qui décide de tout: les achats, l’aménagement de l’appartement, et il lui donne de l’argent au compte-gouttes. Elle finira par faire une cystite chronique mensuelle le jour où son mari reçoit sa paie.
Un autre exemple est celui d’une mère qui, depuis le retour au foyer de sa fille divorcée, a une infection urinaire, car elle avait installé son bureau dans l’ancienne chambre de sa fille et, depuis qu’elle est revenue de façon imprévue, elle ne peut plus organiser son territoire comme elle veut.

Il est facile de reconnaître une personne qui est sensible aux conflits de marquage de territoire. Elle a toujours besoin de se faire remarquer.

Lorsqu’elle n’est pas chez elle, qu’elle est sur le territoire d’autrui, elle essaie vainement de marquer le territoire.

Par exemple,  elle fait des réflexions sur la décoration, elle veut faire les choses à sa manière, elle fixe des limites qui sont immédiatement dépassées par le maître des lieux, bref elle va droit à un combat qui est perdu d’avance.

Ceci dans le but inconscient d’être en affinité avec son programme biologique de survie : être en défaut de marquage de territoire.
Par contre, quand elle est chez elle, sur son territoire, elle « oublie » de le marquer !

Mais, comme le dit Christian Flèche, le spécialiste en Décodage Biologique, celui-ci n’est pas une promesse de guérison,  il ne tient pas les clefs de la guérison, ce n’est ni une vérité ni une certitude.

 

C’est une ouverture, une curiosité, un champ d’hypothèses avec le thérapeute pour vis à vis. Mais seul le patient pourra faire le chemin.

 

Il existe des centaines d’ouvrages sur la signification des maladie et autres « Dis moi où tu as mal » de Michel Odoul.

 

Je vous conseille particulièrement le livre de Bernard Tihon, l’auteur de l’ouvrage « Le sens des maux », publié aux éditions Néosanté. Bernard Tihon est un juriste et comme il dit :

Nous les juristes, nous savons que les lois sont toutes aléatoires, régulièrement transgressées, et que les avocats et les juges en donnent des interprétations divergentes. Alors la loi ne nous fascine pas.

Ce qui nous passionne, c’est de décortiquer les lois pour les appliquer à des cas particuliers. C’est, à partir des grandes lois humaines (en gros, les mêmes depuis l’antiquité, et j’ai même envie de dire : depuis la création du monde), de trouver les pistes qui aideront les autres à résoudre leurs problèmes et qui les passionneront le temps du partage d’une lecture.

Tel est le sens de ma démarche d’auteur. Le juriste est celui qui fait le lien entre la loi et les hommes.

 

En quoi cette « mal a dit » est-elle une solution de survie du cerveau inconscient et pour résoudre quel conflit ? Là est la question que l’auteur cherche à résoudre à chaque fois en explorant plusieurs pistes d’interprétation des maux et en s’inspirant des découvertes des illustres décodeurs qui se sont déjà exprimés sur le sujet.

 

On y trouvera donc à la fois une synthèse de la matière et aussi l’inspiration personnelle de l’auteur, fruit de ses recherches et de son expérience pratique.

 

 

Le Décodage Biologique ne remplace pas une consultation avec un médecin ou un autre professionnel de santé tels qu’un psychologue ou  ostéopathe.  Il agit en complément.

Et vous, avez-vous observé à quel moment de votre vie, une maladie est survenue, à quel moment,  si vous souffrez des des maladies chroniques, ces malaises apparaissent ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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